“Avec un titre ironique délicieusement rétro, Catherine Cusset signe un roman drôle et cruel, irrespectueux et libertaire. (…) Le “chanoine” Mauriac, après avoir feint d’être scandalisé, aurait adoré.”

Jean-Claude Perrier, Livre Hebdo, 30 mai 2014

 

Résumé:

Marie, la narratrice de La haine de la famille et d’Un brillant avenir, raconte les rapports qu’elle a entretenus avec la religion au cours de son enfance et de sa jeunesse, entre un père croyant et une mère athée. Elle évoque la naissance du désir à travers des passions successives, et la découverte de l’amour, vécu d’abord comme une crucifixion, puis comme une rédemption.

 

CRITIQUES:

“La narratrice de La haine de la famille et d’Un brillant avenir revient, son éducation catholique couchée sur la table de dissection de Catherine Cusset. (…) Marie raconte comment son éducation religieuse irrigua son éducation sexuelle et sentimentale–cela, sans la lourde patte de la psychologie de comptoir ou de cabinet, par la seule grâce d’une écriture précise.”   Marion Cocquet, Lepoint.fr, 27 juillet 2014. Lire l’article en entier.

“Ironie, amitié, parfum d’autofiction… On retrouve tout cela sous la plume, aussi crue que grinçante, d’une Catherine Cusset au meilleur de sa forme.”  Marianne Payot, L’express, 21 août 2014. Lire l’article en entier.

“Avec ce ton qui n’appartient qu’à elle, Catherine Cusset raconte pourquoi sa foi s’est heurtée au principe de réalité. Ce qui est formidable, avec Catherine Cusset, c’est que le lecteur a toujours l’illusion d’être son confident exclusif.”   Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur, 26 août 2014

“Des amours adolescentes avec des filles aux relations avec des hommes aimés (mais trahis), l’intelligence autocritique de la narratrice illumine ce roman intime, passionnant.”  Gilles Chenaille, Marie-Claire, 14 Septembre 2014

“Catherine Cusset dévoile sa part la plus intime avec un naturel qui emporte l’adhésion. Pas de pudibonderie mal placée, pas non plus d’exhibitionnisme malvenu, mais une franchise qui désarme et touche au coeur.”    Françoise Dargent, Le Figaro, 11 Septembre 2014

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